Le monde du cirque est triste, Christmas à Offenburg sera désormais différent, ANJA est allée retrouver les étoiles ….
Je garde le souvenir d’une personne spéciale, extraordinaire avec énormément de charisme. La musique, d’Helmut Lotti nous réunissait lors des concerts et de la sympathie échangée. RIP ANJA tu vas manquer ….
L’automne jette aux balcons de la ville Les douceurs tristes des campagnes. Nous ne les verrons plus avant l’hiver; les hirondelles Sont parties; le feu noie les éteules de brouillards; L’arbre déploie dans le ciel blanc sa pourpre. Tu n’es rien
Pour eux, un voyageur à peine, le solitaire dont la main Flatte l’échiné du cheval qui trépigne et le flanc du bouleau. Les orties croissent en bordure des pelouses. En bas du raidillon, les brebis continuent de lever Au moindre bruit leurs yeux trop doux, craignant Le boucher aux mains nues, quand le soir tombe, Rougissant les confins des vallées. Alors
Les haies s’emplissent de bruits nocturnes dans le bocage; Les musaraignes ont quitté les champs; le loir Du grenier heurte aux murs sa tête aux dents luisantes. La sève s’en retourne à la terre endormir les ardeurs De l’été; le mica de l’insecte est déposé dans la caverne Molle de l’hiver, puisque descend — et toi-même Y peux-tu quelque chose? – la mort Que nous voulions traquer parmi les ronces, Habitante des flaques d’argile où l’eau se désapprend À chérir le rapide visage des promeneurs,
Accoutumée depuis toujours à se glisser parmi les arbres, Pour rejoindre dans les nues d’éphémères gisants, Lorsque l’hiver chasse les bancs d’oiseaux des plages, Et que l’aube verse des larmes sur les dernières roses.