Archive for Mon pays

SOIRON annexe

et bien sûr une omission au sujet du séchoir à chardons, que voici :

C’est l’unique bâtiment de ce genre dans le Pays de Vesdre. Vous constaterez qu’il est dans un excellent état de conservation.

A quoi servait-il autrefois ? Au temps de l’industrie lainière, les capitules de chardons étaient utilisés pour donner au tissu un toucher soyeux. Ils servaient et étaient appréciés dans l’industrie des produits de luxes. Cette opération était appelée le « lainage ». C’est-à-dire que les têtes de chardons étaient enfilées sur des sortes de peigne.

Ensuite, les ouvriers griffaient le tissu afin d’enlever des mini filaments de laine sans les arracher et les abîmer. L’opération était répétée inlassablement jusqu’à obtenir un duvet très serré, moelleux et chaud.

Ce séchoir à chardons a été construit dans les années 1830.

Le bâtiment est percé par des sortes de fenêtres. Ces ouvertures sont au nombre de 160. Elles servaient à faire circuler l’air pour sécher les chardons. Ces derniers étaient suspendus pendant trois mois pour ensuite être vendus aux industries textiles.

infos et photo du net.

Vive la BELGIQUE

L’INATTENDU à deux pas

Il ne faut pas toujours aller bien loin pour faire de belles découvertes et vivre des moments hors du commun.

A quelques kilomètres de chez nous.

En 2012, Robert Garcet, philosophe, artiste, architecte, tailleur de pierres, écrivain et ésotériste aurait eu 100 ans.

En 1951, il a commencé à construire une tour située à Bassenge, entre Tongres et Visé. La tour d’Eben-Ezer aligne symboles bibliques et pacifiques. Depuis le sommet on jouit d’un superbe panorama sur le vallée du Geer.

La tour d’Eben-Ezer, construction originale en silex, intrigue le visiteur dès que son regard se pose sur l’édifice surplombé de quatre statues gigantesques. Une oeuvre à voir dans la Province de Liège.

Dressée dans les années 1960 au milieu d’un site isolé dominant la vallée du Geer, cette tour fantastique a été construite en gros moellons de silex provenant de la carrière toute proche. Ses sept niveaux se terminent par une terrasse aux angles de laquelle se dressent des sculptures d’animaux ailés, tels des gardiens attentifs. L’édifice ne laisse pas indifférent tant le lieu est étrange.

Spectaculaire, la Tour d’Eben-Ezer domine la vallée du Geer. Construite en gros moellons de silex sur une base carrée et haute de 33 mètres, elle renferme une symbolique mûrement réfléchie. Robert Garcet, son architecte, n’a rien laissé au hasard en la bâtissant, de 1948 à 1963.

Au sommet, chaque angle est surmonté d’une immense sculpture d’animal ailé en béton. Le Taureau, le Sphinx, le Lion et l’Aigle représentent les chérubins de la vision d’Ezéchiel. Ce n’est qu’un exemple de la symbolique de la tour.

À l’intérieur, une exposition en révèle davantage. L’espace didactique interactif Geospadium vous entraîne dans l’univers du Crétacé. Le jardin avec son Exposition Européenne d’Art Fantastique, et dont le thème change chaque année, est aussi accessible pour clôturer une visite entre rêve et mythologie.

Ses sept étages sont couronnés par les quatre Chérubins de l’Apocalypse, coulés dans le béton : le Taureau, au nord-ouest, l’Homme, au sud-ouest, le Lion, au sud-est, et l’Aigle, au nord-est.

À la base de la tour, un cromlech dresse ses douze stèles entre les taillis; chaque pierre dressée est distante de l’autre de 3,33 mètres. Quant au monumental escalier qui dévale le flanc de la colline, il a, lui aussi, les dimensions requises par un antique ésotérisme.

Dans la Bible, Eben-Ezer est la Pierre d’aide, la pierre commémorative établie par Samuel après une défaite des Philistins, comme mémorial de l’aide reçue à l’occasion de Dieu (1 SAM. 7:7 – 12), à proximité de Mizpah (Benjamin), près de l’entrée occidentale du passage de Beth-horon. Sur ce même champ de bataille, vingt ans avant, les Philistins ont conduit les Israélites, « et le groupe de l’armée dans le domaine environ quatre mille hommes » (4 : 1.2 ; ici, et chez 5:1, appelé « Eben-ezer » par anticipation).

Une belle journée de cette fin d’année a accompagné notre balade exceptionnelle dans ce lieu unique et fantastique, et pas que pour nous, les amis noirauds ont profité de la sortie … n’est ce pas Watson ?

Paysages magnifiques de la vallée du Geer …. au loin, Lixhe et ses immenses carrières de ciment.

Merci les amis pour cette découverte en votre compagnie, sans oublier le Moulin du Broukay et son bon moment /repos réconfortant. A refaire … et surtout à visiter jusqu’en haut de la tour ………

Temps d’une balade …

Le GEER (Jeker) se partage pour entrer dans la ville de Tongres. Des travaux gigantesques, achevés, ont apporté une nouvelle physionomie au tracé de la rivière et de la ville. Une symphonie lui sera dédiée.

Des jardinets sont disposés très joliment le long de la rive. Petits jardins cultivés avec passion par les citadins.

La suite de la balade nous conduira dans un lieu bien connu de Swyna … elle aime !!

SWYNA veut vous assurer que la journée était excellente …. mais cela nous l’avons déjà compris … à bientôt.

DURBUY en juillet

La commune de Durbuy et la Fondation Contre le Cancer organisent les 4 et 5 juillet, un premier « Relais Pour La Vie ».

24 heures de solidarité et de course-relais, sans compétition et pour la bonne cause. Les organisateurs sont fiers de pouvoir annoncer que ce relais pour la vie aura un parrain exceptionnel, le chanteur Helmut Lotti qui habite la localité : « J’habite un petit village de l’autre côté de Durbuy. Je me sens très bien ici, je cours trois fois par semaine. Je fais du vélo, c’est très beau. »

Philippe Lejeune de la Fondation Contre le Cancer se réjouit d’avoir un tel parrain : « Durbuy commence très fort, on a une personnalité de renommée internationale.

Helmut Lotti ne va pas faire juste un petit discours d’entrée, il donnera également un concert, le dimanche vers 12H30 juste avant la clôture. »