Le temps passe, et chaque fois qu’il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s’efface …
Ce blog sera le reflet de mes souvenirs …
Souvenirs de tous mes inoubliables compagnons depuis … déjà longtemps. Rien que du bonheur … ma vie serait bien vide sans eux.
Souvenirs des moments qui ont ponctué, enrichi ma vie, mes joies, mes passions.
Ne gaspillez pas trop de temps à vous en faire pour demain au point d’oublier aujourd’hui. David Baird
Décembre, le douzième mois du calendrier grégorien et julien.
Son nom vient du latin decem, qui signifie « dix », ce qui indique sa position dans le calendrier de l’année romaine antique, avant qu’elle ne débute le 1er janvier, à partir de 153 avant notre ère. Décembre était consacré à Saturne, dieu étrange. Il dure 31 jours. Il est le premier mois de l’hiver dans l’hémisphère nord et le premier mois de l’été dans l’hémisphère sud.
Le solstice a lieu le 20, le 21, le 22 ou le 23 décembre. Il s’agit d’un renversement du recul de la présence du soleil dans le ciel, comme une renaissance de l’année à venir. La signification spirituelle de décembre est aussi liée à la vie, à la mort. Il indique que l’hiver est dur et que le froid extrême est encore à venir. D’autre part, il agit comme un messager chargé de nous avertir que nous ne devons pas perdre espoir car les beaux jours vont bientôt arriver.
La fleur de naissance de décembre est le houx, une fleur d’hiver particulièrement symbolique. Cette plante persistante, reconnue pour ses feuilles épineuses et ses baies rouges vives, est souvent liée à la saison des fêtes, notamment à Noël.
» L’optimiste et le pessimiste partent d’un constat identique: la douleur, le mal, la brièveté de nos jours. Tandis que le pessimiste consent à la mollesse, se rend complice du négatif, se noie sans résister, l’optimiste, par un coup de reins énergique, tente d’émerger, cherchant le chemin du salut. Non seulement je ne perçois pas l’intérêt pratique de la tristesse, mais je n’ai jamais compris l’intérêt philosophique du pessimisme. Pourquoi soupirer si l’on a la force de sourire? »
(Ma vie avec Mozart – Éric-Emmanuel Schmitt)
La jolie illustration par un merveilleux dessin trouvé sur le Net.
Le temps très attendu de quelques jours de dépaysement pour les maîtres et de joies multiples pour Swyna …. le sable, la liberté, l’eau et la balle, tout ce quelle adore.
Bienvenue à De Haan.
Le temps est suspendu …. rien que le roulement des vagues, léger vent et l’étendue de sable ….