Le temps passe, et chaque fois qu’il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s’efface …
Ce blog sera le reflet de mes souvenirs …
Souvenirs de tous mes inoubliables compagnons depuis … déjà longtemps. Rien que du bonheur … ma vie serait bien vide sans eux.
Souvenirs des moments qui ont ponctué, enrichi ma vie, mes joies, mes passions.
Ne gaspillez pas trop de temps à vous en faire pour demain au point d’oublier aujourd’hui. David Baird
Dans la vie, si on ne voulait qu’être heureux Il nous faudrait hélas ! bien peu Mais ce n’est pas ce qu’on veut On voudrait être, le plus heureux On vit, dans un monde d’incertitude
Ça dérange, mais on a l’habitude C’est plus facile de nous laisser aller De prendre la vie par le meilleur coté Quand au fond, est-ce qu’on veut changer
On vit notre présent avec intensité On ne tourne pas toujours en rond Mais on a parfois cette impression On laisse aussi, les autres décider
Sans toutefois, nous culpabiliser Quand cultiver le bonheur prend du temps Une fleur ne grandit pas en la tirant Il nous faut être, vraiment patient
Il faut l’arroser régulièrement Il nous faudrait changer notre intérieur Pour être enfin plus beau à l’extérieur Quand toutes ces conditions sont réunies Y’a des chances, que le bonheur y soit aussi
Etre heureux, c’est être prêt à accepter Aux aléas de la vie, vouloir nous adapter Au fond, on l’a tous cette possibilité Il suffit de savoir, ou s’en vont nos priorités.
L’avion supersonique n’a posé ses roues que deux fois en Belgique.
D’une certaine manière, il illustre le potentiel des aéroports régionaux puisque ces deux passages se sont réalisés à l’aéroport de Gosselies en 1981 et à celui de Liège en 1982.
Une liégeoise (moi …) absolument sous le charme de cette élégance … et du puissant souffle lors de ce demi-tour sur la piste. Un photographe s’est retrouvé bousculé ….
Il s’agissait d’opérations de marketing plus que de réels vols commerciaux.
À Charleroi, les passagers avaient été conduits jusqu’à l’aéroport Paris-Charles de Gaulle avant de faire demi-tour et de rentrer à Charleroi.
Le 13 janvier 1963, le président français Charles de Gaulle suggéra que l’avion soit baptisé « Concorde » et, le 24 octobre, une première maquette grandeur nature du « Concord » sans « e » fut présentée ; une polémique s’ensuivit sur le nom de l’avion. Le ministre britannique de la Technologie Tony Benn mit fin à la polémique en annonçant : « Le Concord britannique s’écrira désormais avec un « e » car cette lettre signifie aussi Excellence, England, Europe et Entente »