Archive for 27 janvier 2019

AILLEURS …

Un peu plus loin que Bruxelles …. avec le même talent.

Pensée … la vie

« Ne vous laissez pas abuser. Souvenez-vous de vous méfier. Et même de l’évidence: elle passe son temps à changer. Ne mettez trop haut ni les gens ni les choses. Ne les mettez pas trop bas. Non, ne les mettez pas trop bas. Montez. Renoncez à la haine: elle fait plus de mal à ceux qui l’éprouvent qu’à ceux qui en sont l’objet. Ne cherchez pas à être sage à tout prix. La folie aussi est une sagesse. Et la sagesse, une folie. Fuyez les préceptes et les donneurs de leçons. Jetez ce livre. Faites ce que vous voulez. Et ce que vous pouvez. Pleurez quand il le faut. Riez. J’ai beaucoup ri. J’ai ri du monde et des autres et de moi. Rien n’est très important. Tout est tragique. Tout ce que nous aimons mourra. Et je mourrai moi aussi. La vie est belle. »

Jean d’Ormesson

AOUT 2018

Une belle journée ensoleillée en balade dans cette jolie campagne du Limbourg à Borgloon.  

Il fait chaud,  un peu trop pour une noiraude qui assure encore joyeusement cette promenade. Une petite halte à l’ombre de cette église « transparente » ….. 

Nous reprendrons la promenade  …. pas trop longue … il fait vraiment chaud mais heureux tout de même d’être retournés dans cet endroit très spécial.

Les arbres  fruitiers sont chargés … poires … pommes … et la récolte déjà préparée, activité principale de cette région.

 

Une journée que nous n’oublierons pas …. elle reste dans nos cœurs avec celle qui nous quittait peu de temps après.  

BRUXELLES …..

BRUXELLES ….

I AM SAILING

BRUXELLES Ils pourront dire « J’y étais » et se souvenir d’un moment fabuleux. Eux, ce sont les fans d’Helmut Lotti, bien sûr, qui occupaient 2400 sièges installés sur la Grand-Place de Bruxelles, face à un podium de prestige, dominé par un plafond transparent. En cas de pluie, ce plafond abritait le chanteur, ses invités, ses trente musiciens et ses onze choristes.

Mais, puisque le show était organisé pour les besoins de la télévision, il permettait, en toute occasion, des images sur la tour de l’Hôtel de Ville et sur toutes les maisons fabuleuses qui l’entourent.

Helmut Lotti venait donc présenter seize chansons. Seize grands classiques de la musique pop qu’il a adaptés à sa manière, avec l’appui de son orchestre symphonique. Dans son choix, certaines chansons, comme Eloïse que Barry Ryan popularisa en 1968 étaient créées pour un orchestre symphonique et on retrouve ici un arrangement très proche de l’original.

Pour d’autres, c’est le contraire. Dans Hotel California, le tube des Eagles, initialement appuyé par des guitares électriques lourdes, Helmut surprend même par les choix d’interprétation. Il commence avec une voix très grave et très belle. The house of the rising sun pareil.

Il n’empêche qu’André Walschaerts, le chef de l’orchestre, a quand même sacrifié au modernisme. Des guitares électriques et une basse électrique s’ajoutent dorénavant à son symphonique.Il y a le cas de A whiter shade of pale. Voilà une chanson qui, dans cette formule, retrouve sa vocation première puisque la mélodie de Procol Harum fut inspirée par une oeuvre de Bach. Helmut Lotti a terminé cette partie-là de son show par un Sailing où il était accompagné sur scène par 51 enfants habillés d’une chemise rose et, selon les cas, d’un pantalon ou d’une jupe noirs. Un final flamboyant!

Mais pas tout à fait… final! Car cet enregistrement ayant pour but de servir au DVD qui sortira pour les fêtes, il y aura – comme pour tout DVD – des bonus. Ici, ce seront des versions Grand-Place de certains titres que Helmut avait enregistrés du temps de ses goes classics. Il y eut le concerto d’Aranjuez, un Una furtiva lacrima qu’il chanta avec une soprano anglaise très jolie, Izzy, et, pour finir, un medley rock endiablé. Et l’invité d’honneur? Cliff Richard! Il n’a pas chanté une chanson, mais trois. Deux en duo avec Helmut dont un Mary’s Boy. Et, seul, Cliff Richard, a aussi chanté un de ses autres nouveaux titres de Noël. Ce qui pour un mois d’août caniculaire est assez spécial.D’autres surprises? Des tas! C’est que ce show n’en était pas un, interrompu sans cesse pour les besoins de la réalisation télé. Alors Helmut improvisait, chantait Love me tender a capella ou Are you lonesome tonight accompagné par la pianiste de l’orchestre tandis que Mina, la petite violoniste coréenne, se lançait dans une merveilleuse improvisation pendant le morceau. Ce qui valut à Helmut une remarque qui amusa tout le monde: «C’était OK!»…

OUI, j’y étais et les souvenirs sont nombreux !!  Je tenais à compléter l’article précédent, c’était indispensable dans le contexte particulier de ce concert. Je voulais aussi ajouter que la petite Laura qui accompagne Helmut se retrouve maintenant dans les chœurs du nouveau spectacle … 15 années après cette prestation  de  I am Sailing  …..

Photos et texte trouvés sur le WEB

BRUXELLES

La Grand’ Place

Bruxelles en août 2003  et sa Grand’ Place comme nous ne l’avions jamais vue. Une ambiance délirante et prestation unique. J’étais là … vous pouvez  tenter de me trouver ……..