Archive for 22 juin 2018

Regard …

L’amour est aveugle ? Quelle plaisanterie ! Dans un domaine où tout est regard ! 
Philippe Sollers

Vacances printanières, vacances bonheur ..

Après un hiver long… long … elles sont enfin à notre portée ces vacances tant attendues principalement pour la noiraude de la maison.
De bon matin en route …

Nous y sommes ….. les réjouissances vont commencer …. balades …

et nous retrouvons notre logis, le petit jardin et ce jour un invité de marque … le soleil

Allons prévenir la mer que nous sommes arrivés …

et déjà à la rencontre de Zeus … un peu spécial


que demain …. chouette alors nous serons là sur le sable … et dans l’eau c’est certain !!!

A demain ……………………..

La MER du NORD

Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague,
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues,
Et de vagues rochers que les marées dépassent,
Et qui ont à jamais le coeur à marée basse.

Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent d’ouest écoutez le tenir
Le plat pays qui est le mien.

Avec des cathédrales pour uniques montagnes,
Et de noirs clochers comme mats de cocagne
Ou des diables en pierres décrochent les nuages,
Avec le fil des jours pour unique voyage,
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir,
Avec le vent de l’est écoutez le vouloir,
Le plat pays qui est le mien.

Avec un ciel si bas qu’un canal s’est perdu,
Avec un ciel si bas qu’il fait l’humilité
Avec un ciel si gris qu’un canal s’est pendu,
Avec un ciel si gris qu’il faut lui pardonner.

Avec le vent du nord qui vient s’écarteler,
Avec le vent du nord écoutez le craquer,
Le plat pays qui est le mien.

Avec de l’Italie qui descendrait l’Escaut,
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot,
Quand les fils de Novembre nous reviennent en Mai,
Quand la plaine est fumante et tremble sous Juillet,
Quand le vent est au rire quand le vent est au blé,
Quand le vent est sud écoutez le chanter,
Le plat pays qui est le mien.

du merveilleux Jacques Brel

LIEGE en fleurs

Un impressionnant escalier, la Montagne de Bueren est un emblème historique de la ville de Liège. Il perpétue le souvenir de Vincent de Bueren (vers 1440-1505), un noble d’origine gueldroise, qui, à la tête des Six cents Franchimontois, fut un des plus acharnés défenseurs de Liège contre le duc de Bourgogne, Charles le Téméraire.
Impressionnant pour son dénivelé (de près de 30%), ses 374 marches et ses maisons escarpées, cet escalier abrupt et long à grimper, vous offre une vue incroyable sur la Cité ardente.

De marches remplies d’histoire. La Montagne de Bueren a vu le jour en 1880. L’objectif initial ? Faciliter l’accès des militaires de la Citadelle à la ville, en cas d’invasion ennemie. Officieusement, on raconte dans le quartier que l’escalier avait été pensé par le conseil communal pour dissuader les unités militaires de passer par les cabarets et les courtisanes du coin.

Tant de choses à voir !
La montagne de Bueren est une belle ouverture vers les Coteaux de la Citadelle. Certes, la montée est longue, mais elle en vaut vraiment le détour.
Outre la vue incroyable, ces escaliers cachent quelques perles rares. C’est par exemple le cas de la brasserie Curtius, située au pied des marches. Cette brasserie liégeoise peut être visitée du jeudi au dimanche et possède l’une des plus belles terrasses de Liège ! Et puis Leur bière, blonde et légèrement fruitée, en vaut la peine !

A proximité, vous pouvez également partir à la découverte des superbes impasses de la rue Hors-Château.

Depuis 2010, un événement spectaculaire particulièrement prisé s’y déroule tous les deux ans (années paires) et au mois de juin : Bueren en Fleurs. Une magnifique fresque florale, très photogénique, composée par environ 25 000 plants et imaginée par le Service des Plantations de la Ville de Liège.

Je serai tout juste rentrée …. les plages, dunes … laissées derrière nous avec nostalgie. Mais les souvenirs de ce séjour sont encore à présenter …

La mer …

accompagnés par l’amitié c’est tellement bon !!!
Merci ma chère Agnès pour ta grande gentillesse et ton merveilleux talent.

« On ne va jamais aussi loin que lorsqu’on ne sait pas où l’on va »
Christophe Colomb