C’est ici que la découverte sera nettement plus ardue … pas encore compté les marches …
Ce grand foyer spirituel et intellectuel fut avec Rome et Saint-Jacques de Compostelle l’un des plus importants pèlerinages de l’Occident médiéval. Pendant près de mille ans des hommes, des femmes, des enfants sont venus, par des routes appelées « chemin de Paradis », chercher auprès de l’Archange du jugement, peseur des âmes, l’assurance de l’éternité.
Parallèlement au développement de l’abbaye, un village s’organise dès le Moyen-Âge . Il prospère sur le flanc sud-est du rocher , à l’abri de murailles remontant pour la plupart à la guerre de Cent ans. Ce village a depuis toujours une vocation commerciale.
Devenue prison sous la Révolution et l’Empire, l’Abbaye nécessitera d’importants travaux de restauration à partir de la fin du XIXème siècle. Elle est confiée depuis 1874 au service des monuments historiques.
La baie se révèle également un « poste d’observation » privilégié : la Roche Torin à Courtils, le Grouin du Sud à Vains-Saint-Léonard ou encore le Gué de l’Epine au Val-Saint-Père.
« Quelques » marches plus haut … nous rejoignons le petit théâtre diffusant l’Histoire du Mont. Le spectacle est commencé déjà … les retrouvailles avec nos amis Catherine et Christian se sont prolongées quelque peu …
Mais nous avons pu apprécier tout de même un large passage :
Courage nous continuons la progression …. qui sera de courte durée … abandon par KO ….
Nous retrouvons le sable, la mer. Direction notre restaurant ce midi « Le Pré salé » et son omelette façon Mère Poulard.
La marée s’est retirée ….
La visite se terminera par un au revoir aux amis … chacun son chemin … le retour pour les uns vers le périple des vacances et les autres un détour par le Calvados avant la Belgique.
Nous aurons enfin réalisé la promesse faite il y a … oh pas mal d’années en passant devant sans avoir eu les possibilités d’y faire un arrêt …